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Pourquoi le stress peut favoriser le cancer ?
Je vais aujourd’hui m’appuyer sur l’ouvrage de David Servan-Schreiber « Anticancer » pour vous expliquer pourquoi le stress peut favoriser le cancer.
Tout d’abord, je souhaite vous présenter l’histoire de l’auteur. David Servan-Schreiber, était un médecin et chercheur en neuroscience formé aux US.Il a enseigné à l’université de Pittsburg, une clinique psychiatrique.
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Il fut atteint d’un cancer du cerveau à l’âge de 30 ans. Sa tumeur était particulièrement agressive. Il a subit un traitement classique (chirurgie, chimiothérapie et radiothérapie ). Il rechute quelques années après et décide alors de soigner aussi son terrain en plus du traitement conventionnel.
Alors que son cancer était particulièrement grave, il a vécu jusqu’à l’âge de 50 ans. Il a fait de nombreuses recherches sur les différentes expériences scientifiques médicales. En particuliers sur les facteurs pouvant favoriser le cancer et ceux qui au contraire peuvent permettre de s’en protéger.
Le stress fait partie des facteurs qui peuvent potentialiser le cancer, il y a une réponse scientifique.
Pourquoi le stress peut favoriser le cancer ?
Voici ce passe au niveau hormonal lorsque vous êtes stressé :
Il y a une sécrétion d’hormones. La noradrénaline et le cortisol.Ces hormones ont pour effet de préparer le corps à la possibilité d’une blessure. Cela semble positif, nous risquons d’être atteins, le corps se dispose à réagir.Le système nerveux s’active, le rythme cardiaque s’accélère, la tension artérielle monte, les muscles se tendent. Le corps est prêt à parer aux coups. Or, cette sécrétion hormonale agit aussi au niveau du système immunitaire. Certaines cellules (globules blancs) se mettent à libérer des cytokines et des chémokines inflammatoires.D’autres, restent passivement collées à la paroi des vaisseaux sanguins, au lieu d’aller attaquer les virus ou les cellules cancéreuses qui prolifèrent à proximité.
La répétition pendant des mois, voire des années de cette baisse de l’immunité et de cette augmentation de l’inflammation dans le corps nous rend vulnérable aux cellules cancéreuses circulant dans notre organisme.
Le postulat de David Servan-Schreiber étant que nous sommes tous porteurs de micro-tumeurs, mais que certains seulement développent un vrai cancer. Le stress s’il diminue notre résistance à nous défendre est donc à éviter le plus possible.
Pourquoi le stress peut favoriser le cancer ?
L’auteur de « Anticancer », précise que le stress le plus pernicieux est le sentiment d’impuissance.
Voilà la définition qu’il en donne :
- Ne pas s’être senti accueilli dans l’enfance
- Se conformer à ce que l’autre attend de nous (peu d’expression de la colère)
- Ne jamais exprimer ses émotions
- Ne jamais gouter à un calme profond intérieur
Le docteur David Spiegel (médecin psychiatre américain) proposa à un groupe de femmes atteinte d’un cancer du sein métastatique de parler une fois par semaine de leur peur, de leur solitude, de leur colère, de leurs envies aussi, et de leur façon de faire face à la maladie.
Il fut fort surpris de constater que les femmes du groupe de soutien avaient survécu deux fois plus longtemps que les autres.Depuis, d’autres expériences dans le même sens ont été menées qui elles aussi confortent l’expérience du docteur Spiegel.
Ainsi trouver la confiance, la sécurité semble contribuer à l’amélioration de notre système de défense.
Pourquoi le stress peut favoriser le cancer ?
D’autres ont aussi trouvés que se reconnecter à sa force vitale par une pratique énergétique contribue à éloigner le stress.
Comme pratique énergétique j’entends parler du yoga, de la méditation, du qi gong, du taïchi, mais aussi de la sophrologie, de la cohérence cardiaque, ou de l’hypnose. Ces pratiques permettent à nos rythmes autonomes de s’harmoniser et d’améliorer notre résistance au stress.
David Servan-Schreiber, grâce aux découvertes du docteur Luciano Bernardi, nous explique :
L’ équilibre des biorythmes : respiration, variation du rythme cardiaque, tension artérielle, flux et reflux du sang vers le cerveau, est le meilleur indicateur de bonne santé. Il est capable de prédire la longévité de la personne (à 40 ans de distance selon certaines études). Plus leurs variations sont amples et régulières, plus les fonctions du corps produisent une pulsation qui semble être l’expression même de la vie. C’est en faisant réciter le rosaire ( L’Ave Maria) à ces cobayes (des italiens catholiques , au moins culturellement), que le médecin italien obtient une fréquence de 6 respiration par minutes.
Cette fréquence est la position neutre, elle permet l’harmonisation des autres rythmes naturels de fluctuations des fonctions corporelles (cœur, TA, flux sanguin dans le cerveau). Les fonctions entrent en résonance et se renforcent mutuellement.
Entre la naissance et la mort nous perdons environ 3 % par an de variabilité de l’amplitude des rythmes biologiques, c’est signe que notre physiologie perd progressivement de sa souplesse face aux aléas de la vie. Cela entraine les problèmes de santé liés au vieillissement. Mais l’amplitude de ses variations répond le mieux à l’entrainement mental portant sur la respiration et la concentration.
Le Docteur Bernardi testa les mêmes paramètres avec le mantra (Om-Mani-Padme-Hum) et obtiens la même cohérence.
Pourquoi le stress peut favoriser le cancer ?
La respiration est la seule fonction viscérale qui soit à la fois totalement autonome vis-à-vis de l’esprit conscient et facilement contrôlable.Elle fait l’interface entre la conscience et les fonctions viscérales vers une bonne santé.
Donc, les prières, quelques soit les religions se calent sur un rythme de 6 respiration par minutes. En voilà les répercussions sur l’organisme :
- Meilleur fonctionnement du système immunitaire
- Réduction de l’inflammation
- Meilleur contrôle du taux de sucre dans le sang
- Bonne humeur, optimisme
Or, ce sont les principaux facteurs qui agissent contre le développement du cancer.
Il se passe la même chose avec la méditation. Les expériences auxquelles Mathieu Ricard (moine tibétain) a participé en témoignes.Pendant la méditation, les rythmes cérébraux enregistrent une forte augmentation de l’amplitude des oscillations habituelles. C’est un phénomène comparable, à l’échelle du cerveau, à l’établissement de la cohérence dans la biologie du corps.
L’hypothèse est qu’un état d’esprit plus serein entraine une baisse du taux de sécrétion d’adrénaline et de cortisol. Alors,cela permet aux cellules immunitaires de mieux remplir leur fonction de défense.
Aviez-vous connaissance de ces découvertes ? Vous même, pratiquez-vous une méthode pour vivre plus sereinement ?
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